COACH PSY PAMELA
Accompagnement psychologique, aides aux troubles du comportement
Les troubles de l’attention et de l’apprentissage touchent de nombreux enfants, adolescents et adultes. Souvent invisibles, ils peuvent pourtant impacter profondément la vie scolaire, professionnelle, et personnelle.
-
Les troubles de l’attention (TDA/H). Le trouble du déficit de l’attention, avec ou sans hyperactivité (TDA/H), se manifeste par :
-
Des difficultés à se concentrer ou à maintenir l’attention sur une tâche,
-
De l’impulsivité, des réactions spontanées et parfois inadaptées,
-
Une hyperactivité, chez certains, traduite par une agitation constante.
-
Ces symptômes ne sont pas liés à un manque de volonté : ils reflètent un fonctionnement neurodéveloppemental particulier.
-
Les troubles de l’apprentissage. Ils incluent des troubles spécifiques comme :
-
La dyslexie : difficultés avec la lecture et l’orthographe,
-
La dyscalculie : difficultés avec les chiffres et le raisonnement mathématique,
-
La dyspraxie : troubles de la coordination et de l’écriture,
-
La dysphasie : troubles du langage oral.
-
Chaque trouble a ses propres manifestations, mais tous peuvent nuire à la confiance en soi s’ils ne sont pas compris et pris en charge.

Pourquoi un accompagnement
personnalisé ?
Avec un coaching psychologique adapté, il est possible de :
-
Mieux comprendre son fonctionnement,
-
Mettre en place des stratégies concrètes,
-
Retrouver motivation et estime de soi.
Mon rôle est de vous accompagner avec bienveillance et expertise, pour transformer les difficultés en opportunités de croissance.
Troubles de l'attention et de l'apprentissage :
Mieux comprendre pour mieux accompagner

Troubles de la mémoire :
Quand l’oubli devient un frein au quotidien
Comment un accompagnement en coaching psychologique peut aider ?
Même en dehors d’un cadre médical, les troubles de la mémoire peuvent être pris en charge de manière efficace grâce à une approche psychologique et comportementale. Le coaching peut permettre de :
-
Mieux comprendre ses difficultés et les replacer dans leur contexte émotionnel et cognitif,
-
Mettre en place des stratégies compensatoires (techniques de mémorisation, organisation de l’information, routines),
-
Travailler sur la concentration, l’attention et la gestion du stress, éléments clés du bon fonctionnement mnésique,
-
Reprendre confiance en soi, souvent mise à mal par les oublis répétés.
Un chemin vers plus de clarté et de stabilité intérieure
Les troubles de la mémoire peuvent être source d’inquiétude, mais ils ne sont pas une fatalité. Un accompagnement bienveillant et personnalisé permet de mieux les comprendre, d’identifier leur origine, et de retrouver un équilibre dans sa vie personnelle et professionnelle.
La mémoire joue un rôle central dans notre fonctionnement psychique : elle nous permet de construire notre identité, de nous adapter à notre environnement, et de prendre des décisions en s'appuyant sur notre vécu. Mais il arrive que ce mécanisme essentiel montre des signes de fragilité. Ces troubles peuvent être temporaires ou persistants, bénins ou plus handicapants.
Quels sont les types de troubles de la mémoire ?
Il n’existe pas un seul type de mémoire, mais plusieurs systèmes, qui peuvent être affectés de manière différente :
-
La mémoire à court terme : retenir une information sur quelques secondes ou minutes (un numéro de téléphone, une consigne immédiate).
-
La mémoire de travail : gérer et manipuler les informations temporairement pour accomplir une tâche (résolution de problèmes, raisonnement).
-
La mémoire à long terme : stocker durablement des connaissances, souvenirs, habitudes.
Les troubles peuvent concerner :
-
L’encodage (difficulté à enregistrer l’information),
-
Le stockage (perte ou altération des souvenirs),
-
La récupération (incapacité à retrouver une information stockée).
Quelles sont les causes possibles ?
Les troubles de la mémoire ne sont pas toujours liés à une maladie. Ils peuvent résulter de plusieurs facteurs :
-
Facteurs psychologiques : stress chronique, anxiété, surcharge mentale, dépression…
-
Facteurs biologiques : troubles du sommeil, carences, effets secondaires de médicaments, troubles neurologiques.
-
Vieillissement : avec l’âge, certaines capacités de mémorisation ralentissent, mais cela reste souvent normal et compensable.
-
Pathologies spécifiques : maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson), traumatismes crâniens, AVC, etc.

Aide aux troubles post-traumatiques
Pourquoi consulter un coach psy?
Si les symptômes de stress post-traumatique affectent votre vie de manière significative (au travail, dans vos relations, ou dans vos activités quotidiennes), il est crucial de consulter un coach spécialisé dans le traitement du traumatisme. Mon rôle sera de vous accompagner dans le développement de stratégies pour faire face aux symptômes et progressivement guérir.
Le traitement du TSPT varie d'une personne à l'autre, mais il existe plusieurs approches thérapeutiques qui ont prouvé leur efficacité :
-
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) :
La TCC est l'une des méthodes les plus utilisées pour traiter le TSPT. Elle aide les patients à comprendre et à modifier les pensées négatives et les comportements qui prolongent les symptômes du traumatisme. Une approche populaire est la restructuration cognitive, où le thérapeute aide à identifier et à remplacer les pensées irrationnelles liées au traumatisme.
-
L’EMDR (Désensibilisation et Retraitement par les Mouvements Oculaires) :
L'EMDR est une technique thérapeutique qui consiste à aider la personne à traiter et à intégrer les souvenirs traumatiques en les associant à des mouvements oculaires ou à des stimuli bilatéraux. Cela permet de réduire l'intensité émotionnelle liée à ces souvenirs.
-
La pleine conscience (Mindfulness) :
La pleine conscience permet de prendre conscience des pensées, émotions et sensations physiques, sans jugement. C’est une méthode efficace pour réduire l'anxiété, l'agitation intérieure et pour favoriser l'acceptation du passé tout en vivant pleinement l'instant présent.
Les troubles de stress post-traumatique (TSPT) sont des réactions émotionnelles et psychologiques qui peuvent se développer après avoir vécu un événement profondément traumatisant. Ce trouble affecte une personne sur le long terme, bien au-delà de l'événement initial. Les symptômes peuvent apparaître immédiatement après le traumatisme ou bien après plusieurs mois, voire des années.
Qu'est-ce qu'un traumatisme ?
Un traumatisme est un événement qui dépasse les capacités d'adaptation d'une personne. Ce peut être un événement unique (accident, agression, deuil) ou un ensemble d'événements répétitifs (violence domestique, guerre). L'intensité du traumatisme dépend de plusieurs facteurs : l'ampleur de l'événement, la durée de l'exposition, la relation avec l'agresseur ou l'impact sur la sécurité personnelle.
Symptômes principaux des TSPT :
Les symptômes du TSPT peuvent varier d’une personne à l’autre, mais en général, ils sont regroupés en quatre catégories :
-
Le revécu de l'événement traumatique :
-
Flashbacks : La personne peut avoir l'impression de revivre l'événement traumatique comme si c'était le moment présent, avec une intensité émotionnelle très forte.
-
Cauchemars : Des rêves récurrents liés à l'événement traumatique perturbent le sommeil.
-
Pensées intrusives : Des pensées non sollicitées et envahissantes, souvent intenses et perturbantes, qui surgissent spontanément tout au long de la journée.
-
-
L’évitement :
-
Évitement des rappels du traumatisme : La personne évite activement des lieux, des personnes ou des situations qui lui rappellent le traumatisme. Par exemple, un survivant d'un accident peut éviter de conduire.
-
Détachement émotionnel : La personne peut devenir émotionnellement distante, se déconnectant de ses proches et de ses propres émotions. Elle peut également perdre intérêt pour des activités qu’elle aimait auparavant.raisonnement mathématique,
-
-
L’hyper-vigilance :
-
Survigilance : La personne reste constamment en alerte, comme si elle s'attendait à ce qu'un danger survienne à tout moment. Cela peut se traduire par un état de nervosité général, des réactions de sursaut excessives, ou un sentiment constant de menace.
-
Problèmes de sommeil : L’anxiété liée à l’hyper-vigilance peut rendre le sommeil difficile, voire inexistant. Les insomnies ou le sommeil fragmenté sont fréquents.
-
Difficultés à se concentrer : La personne peut avoir des difficultés à se concentrer sur des tâches quotidiennes en raison du stress constant.
-
-
Perturbations émotionnelles et cognitives :
-
Anxiété et dépression : Les personnes souffrant de TSPT peuvent développer des symptômes d'anxiété généralisée, des attaques de panique ou des symptômes dépressifs, tels que la tristesse, la perte d'intérêt pour les activités ou la sensation de ne plus avoir d'espoir.
-
Colère et irritabilité : L'irritabilité peut être exacerbée, et la personne peut avoir des explosions de colère qu’elle a du mal à contrôler.
-
Culpabilité et honte : Certaines victimes de traumatismes peuvent ressentir une profonde culpabilité, pensant qu’elles auraient pu faire quelque chose pour éviter l'événement, même si cela était hors de leur contrôle.
-
Impact sur la vie quotidienne :
Les TSPT peuvent toucher tous les domaines de la vie quotidienne et perturber gravement la capacité de l’individu à fonctionner normalement :
- Relations interpersonnelles : La méfiance accrue envers les autres, la peur de l'intimité ou l’isolement social peuvent affecter la qualité des relations amicales, familiales et amoureuses. Les proches peuvent aussi éprouver des difficultés à comprendre ce que traverse la personne traumatisée.
- Vie professionnelle : Les symptômes du TSPT, notamment l’anxiété, la difficulté de concentration et l’hyper-vigilance, peuvent interférer avec la performance au travail. L'absentéisme est courant, et certaines personnes peuvent même perdre leur emploi en raison de leurs difficultés émotionnelles.
- Santé physique : Le stress chronique associé au TSPT peut entraîner des problèmes de santé physiques comme des maux de tête, des douleurs musculaires, des troubles digestifs ou une tension artérielle élevée.

Les Troubles de l'Image de Soi :
Comprendre pour Mieux Agir
L'image de soi représente la perception que nous avons de nous-mêmes, façonnée par nos expériences, nos croyances, nos interactions sociales, et la manière dont nous nous voyons physiquement, émotionnellement et intellectuellement. Une image de soi saine et positive est essentielle pour une bonne santé mentale et émotionnelle. Cependant, certaines personnes peuvent développer des troubles liés à leur image de soi, ce qui peut nuire à leur bien-être global.
Qu'est-ce que l'image de soi ?
L'image de soi se définit comme l'ensemble des perceptions, croyances et attitudes qu'une personne a envers elle-même. Elle inclut plusieurs aspects :
-
L'image corporelle : La façon dont une personne se perçoit physiquement, c'est-à-dire son corps, ses traits, son visage, et son apparence générale.).
-
L'estime de soi : La valeur que l'on accorde à soi-même, influencée par l'opinion personnelle et les retours des autres.
-
Les compétences et capacités personnelles : La manière dont une personne évalue ses talents, ses compétences, ses réussites et ses capacités à faire face aux défis.
-
Les croyances personnelles : Les convictions profondes que nous avons sur nous-mêmes et sur notre place dans le monde (ex. : "Je suis capable" ou "Je ne suis pas digne d'amour").
Une image de soi positive est associée à une bonne estime de soi, une capacité à accepter ses défauts et à valoriser ses qualités. En revanche, une image de soi déformée ou négative peut entraîner des souffrances psychologiques importantes, comme la dépression, l'anxiété, ou des troubles alimentaires.
Les troubles de l'image de soi
Les troubles de l’image de soi se caractérisent par une perception altérée de soi, qui ne correspond pas à la réalité. Ces troubles peuvent se manifester sous différentes formes, allant de la perception déformée du corps à des pensées persistantes de non-valeur. Voici les troubles les plus fréquents :
-
Dysmorphophobie : La dysmorphophobie est un trouble psychologique où la personne est obsédée par un défaut imaginaire ou mineur de son apparence physique. Ce défaut peut concerner n’importe quelle partie du corps, mais il touche souvent des éléments du visage (nez, peau, yeux) ou des zones corporelles spécifiques (ex. : ventre, cuisses, poitrine).
Les personnes atteintes de dysmorphophobie peuvent se regarder constamment dans le miroir, chercher des solutions cosmétiques, consulter plusieurs chirurgiens plasticiens, ou adopter des comportements extrêmes pour essayer de corriger leur "défaut". Cette obsession peut perturber la vie quotidienne, affecter la vie sociale, professionnelle, et créer des troubles émotionnels graves comme l'anxiété, la dépression ou même le suicide.
-
Anorexie et Boulimie : Les troubles alimentaires sont souvent liés à une perception déformée de l'image corporelle. Par exemple :
-
L'anorexie mentale se caractérise par un rejet excessif de la nourriture, associé à une peur intense de prendre du poids et à une image corporelle distordue (se percevoir comme trop gros, même si la personne est extrêmement mince).
-
La boulimie est marquée par des épisodes de consommation excessive de nourriture suivis de comportements de purge (vomissements, prise de laxatifs) dans le but de ne pas prendre de poids.
-
Ces troubles affectent profondément l’estime de soi et l’image corporelle. Ils sont souvent liés à des pressions sociales et médiatiques, mais aussi à des difficultés émotionnelles, comme le besoin de contrôle ou la gestion de l’anxiété.
-
Dévalorisation de soi :
La dévalorisation de soi est un phénomène psychologique où une personne se perçoit comme inférieure ou non digne d'amour et de respect. Elle peut résulter de critiques répétées, d’un environnement familial dysfonctionnel, de traumatismes passés, ou d'une faible estime de soi.
Les personnes dévalorisées peuvent éprouver un sentiment constant d’insuffisance, se sentir incapables d’accomplir des tâches simples ou être constamment inquiètes de ne pas répondre aux attentes des autres. Cette perception de soi peut mener à des comportements d'auto-sabotage, de retrait social et de souffrance émotionnelle.
L'importance de l'Accompagnement
Les troubles de l'image de soi ne disparaissent pas spontanément et peuvent affecter profondément la vie d’une personne. Mon rôle en tant que coach psy sera de :
-
Comprendre et déconstruire les croyances limitantes : À travers des approches comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), il est possible d'identifier les pensées irrationnelles et les schémas négatifs pour les remplacer par des croyances plus réalistes et bienveillantes.
-
Améliorer l'image corporelle : Les personnes qui souffrent de troubles liés à l'image corporelle peuvent apprendre à accepter leur corps, indépendamment des standards de beauté. Cela passe par un travail sur l'estime de soi et la réduction de l'anxiété liée à l'apparence.
-
Apprendre à gérer les émotions : Le travail sur les émotions et les comportements associés à l'image de soi permet d’adopter une attitude plus positive et de mieux gérer les situations stressantes.